Nous sommes des passeurs – Le fonds de dotation FAIRE : les fondements, les étapes

« Réconcilier entreprise et philanthropie, pérenniser nos entreprises et soutenir des projets d’intérêt général en phase avec nos valeurs » est un propos en action chez Adam. Une question de fond auquel les dirigeants répondent par la création… d’un fonds !

Le fond(s) est bon – Un fonds de dotation actionnaire, c’est quoi ?

Si créer une fondation actionnaire, c’est permettre la transmission de l’entreprise en assurant sa pérennité́, son indépendance et son ancrage territorial… c’est aussi entreprendre pour le bien commun. Adam adhère et signe. Mais de quoi est-il question ?

Les lignes de fond – La mise en œuvre : les axes d’intervention du fonds

Pour la mise en pratique, la feuille de route de la fondation actionnaire d’Adam est dressée. Trois lignes de fond se dessinent : la préservation du patrimoine forestier, l’éducation à l’environnement, la contribution territoriale.

Ainsi fonds, fonds, fonds ! – Partage d’expériences, témoignages

Ils l’ont fait, ils le font… et ils témoignent. Ils sont propriétaires d’entreprises et ont entrepris de créer une fondation actionnaire. Ils parlent transmission, patriotisme économique, valeurs, intérêt général et bien commun. Ils nous en parlent.

Un vrai mouvement de fond(s) – Le point de vue européen, émergence du modèle en France, les acteurs

Peu connues en France, les fondations actionnaires sont très développées en Europe du Nord. Depuis Pierre Fabre en 2008, premier industriel français à avoir donné́ la majorité́ des parts de son entreprise à sa fondation, le modèle se déploie lentement en France. Un mouvement de fonds bien accompagné.

L’âme de fonds, un modèle nouvelle vague – Un nouveau modèle de gouvernance

« Face à un capitalisme trop financiarisé qui s’essouffle, nous proposons, avec la fondation actionnaire, un modèle alternatif permettant un nouveau partage de la valeur », évoque la communauté De Facto (tribune au Monde) que vient de rejoindre Adam. Actionnariat au service du bien commun, philanthropie sur mode entrepreneurial sont les maîtres mots partagés par les entrepreneurs adhérant à ce mouvement.

De Saint-Barth à Sainte-Hélène… un Joly parcours !

Après 10 ans chez un ébéniste agenceur à Saint-Barth, Marine Joly rejoint Adam à Sainte-Hélène comme responsable de l’atelier finition. Un parcours par cœur… guidé par la passion du bois et le goût du luxe.

© comme création

C’est quoi ce petit c entouré d’un rond ? C’est “copyright”. C’est pour signifier qu’il existe un droit de propriété intellectuelle sur la création. La création, c’est un investissement et une valeur. C’est le prix de l’innovation, celle qui nous permet d’avancer et de continuer à proposer des solutions éclairées à nos clients.

Dans le top 5 !

Trois ans après la première évaluation, Adam confirme son niveau de maturité en matière de responsabilité sociétale : 832 points sur un total de 1000… ce qui positionne l’entreprise dans le top 5 des labellisées Engagé RSE. “Bravo pour l’engagement et la qualité du chemin parcouru”, commente l’Afnor.

Plus c’est long plus c’est bon…

… enfin, pas toujours ! Dans le cas présent, pas du tout. Surtout quand le sujet concerne les demandeurs d’emploi de longue durée. Adam se mobilise pour accompagner ces personnes au chômage depuis plus d’un an vers le retour à l’emploi. L’entreprise a été choisie pour parrainer la 1ère édition d’un projet innovant du Pôle Emploi de Saint Médard.

Le beau bon beignet

« En économie, l’outil le plus puissant n’est pas l’argent, ni même l’algèbre. C’est un crayon. Parce qu’avec un crayon vous pouvez redessiner le monde ». C’est sur cette interlude que Kate Raworth, économiste et éditorialiste britannique, ouvre la théorie du “Donut” (beignet, en français). Une vision développée au fil des années dont l’objet central est de réorienter l’économie vers un modèle plus juste et durable. Adam a invité Oxfam , partisan et porteur de cette vision, à intervenir auprès de ses salariés.

Chaud devant !

Comment sensibiliser les salariés à la question du changement climatique ? Comment les mobiliser pour trouver des solutions à l’échelle de l’individu et de l’entreprise ? Adam a invité l’ensemble de ses salariés à participer à un atelier “La Fresque du Climat”. Un atelier pédagogique, collaboratif et ludique hors du commun.