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Allô, j’écoute !

Depuis 2010, Adam conduit une démarche d’écoute avec une enquête capital humain menée tous les deux ans. Cette enquête permet de bâtir des plans d’action en phase avec les préoccupations des salariés. L’intéressement et la participation, les actions de mobilité interne figurent parmi les actions engagées à l’issue des précédentes enquêtes.

Ainsi fonds, fonds, fonds !

Il y a 18 mois, F.A.I.R.E. a vu le jour à l’initiative des propriétaires d’Adam. Sensibiliser et éduquer à l’environnement pour initier des pratiques éco-responsables est un des axes d’intervention majeur du Fonds mis en œuvre avec le déploiement de la Fresque du Climat, en externe comme en interne.

Deux parcours par cœur

Dans tout parcours, il y a un départ… et une arrivée. Chez Adam, il y a ceux qui partent… et ceux qui arrivent. Après 42 ans dans l’entreprise, Alain Boitaud, un talentueux professionnel du marquage (… et de la cueillette de champignons) reprend la route vers de nouveaux horizons… tandis que Fallou Taye, arrivé d’horizons lointains, entre chez Adam comme responsable industriel secteur bois… à 26 ans !

L’aventure continue

Entre 1996 et 2023, de belles pages s’écrivent pour Adam. 27 ans d’histoires, d’aventures (et parfois de mésaventures) guidées par la conviction de ses auteurs : « nous voulons mettre l’économie au service du vivant et non l’inverse », affirme Jean-Charles Rinn. Dernière aventure en date : la transmission du capital à un fonds de dotation actionnaire. L’article des Échos nous éclaire sur le chemin parcouru.

Dedans et dehors !

Si le bien-être des salariés Adam est dedans… il est aussi dehors. Si vous connaissez le dedans d’Adam, poussez la porte côté forêt et découvrez le dehors avec ses aménagements réalisés… en bois bien sûr. Des aménagements conçus pour les salariés : une pergola par ci, des jardinières par là.

On avance, on avance, on avance…

… c’est une évidence. Pour Jean-Charles et Hélène Rinn, les dirigeants propriétaires d’Adam, qui ont initié en juillet 2022 la création de F.A.I.R.E., le Fonds Adam pour des Initiatives Responsables et Écologiques, c’est une nécessité. Un an après, quelles avancées ?

Demain Demaître !

Enfin, demain c’est aujourd’hui, puisque Matthias Demaitre vient de rejoindre l’équipe Adam comme directeur commercial. Gascon et fier de l’être, Matthias, un passionné d’œnologie, va « développer la relation client, faire rayonner Adam et accompagner son projet de diversification ». Il aime les challenges… et celui-ci particulièrement.

Le bon index…

Toutes les entreprises d’au moins 50 salariés doivent calculer et publier chaque année leur index de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. « Cet index n’est pas là pour montrer du doigt les résultats, mais bien pour servir d’indicateur de progrès », commente Emmanuel Hauet, Responsable Développement social & RSE. Et chez Adam, cela progresse, pour atteindre aujourd’hui une « note » de 93 sur 100.

De Saint-Barth à Sainte-Hélène… un Joly parcours !

Après 10 ans chez un ébéniste agenceur à Saint-Barth, Marine Joly rejoint Adam à Sainte-Hélène comme responsable de l’atelier finition. Un parcours par cœur… guidé par la passion du bois et le goût du luxe.

Dans le top 5 !

Trois ans après la première évaluation, Adam confirme son niveau de maturité en matière de responsabilité sociétale : 832 points sur un total de 1000… ce qui positionne l’entreprise dans le top 5 des labellisées Engagé RSE. “Bravo pour l’engagement et la qualité du chemin parcouru”, commente l’Afnor.

Plus c’est long plus c’est bon…

… enfin, pas toujours ! Dans le cas présent, pas du tout. Surtout quand le sujet concerne les demandeurs d’emploi de longue durée. Adam se mobilise pour accompagner ces personnes au chômage depuis plus d’un an vers le retour à l’emploi. L’entreprise a été choisie pour parrainer la 1ère édition d’un projet innovant du Pôle Emploi de Saint Médard.

Le beau bon beignet

« En économie, l’outil le plus puissant n’est pas l’argent, ni même l’algèbre. C’est un crayon. Parce qu’avec un crayon vous pouvez redessiner le monde ». C’est sur cette interlude que Kate Raworth, économiste et éditorialiste britannique, ouvre la théorie du “Donut” (beignet, en français). Une vision développée au fil des années dont l’objet central est de réorienter l’économie vers un modèle plus juste et durable. Adam a invité Oxfam , partisan et porteur de cette vision, à intervenir auprès de ses salariés.