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Mon beau (sa)pin !

Si le sapin est le roi des forêts… pour Adam, la forêt de pins est reine ! La question des enjeux forestiers liés au réchauffement climatique est un vrai sujet d’actualité pour l’entreprise.
C’était le thème du dernier séminaire interne.
C’est une ligne de fond…
du fonds de dotation F.A.I.R.E.
Ce sera un axe phare et fort pour les années à venir.

Un patrimoine forestier à préserver
Les recherches et expérimentations sur les modes de gestion sylvicoles font partie des questionnements sous-jacents à l’activité industrielle d’Adam. Le fonds F.A.I.R.E s’en est saisi pour déployer sa politique d’intérêt général.

Paroles d’experts… et preuves à l’appui
Dans les questions qui mobilisent Adam, deux points ont été évoqués : les enjeux de captation carbone des massifs forestiers et ceux de résistance des massifs aux conditions hydriques… Et ils sont de taille !

Pour sensibiliser l’équipe dirigeante à ces sujets, Adam a organisé un séminaire et convié Sylvain Delzon, un expert reconnu internationalement pour ses travaux sur la résistance des plantes à la sécheresse et l’adaptation des forêts au changement climatique. Docteur en écophysiologie évolutive, directeur de recherche à l’INRAE, il est soutenu par Adam sur son projet Living Lab* FORland. 

Ce projet œuvre à la mise en place d’une forêt expérimentale. L’objectif est de mesurer la réponse
de la forêt, au changement climatique, d’une part (au stress hydrique, en particulier) et à l’expérimentation de nouvelles pratiques au champ avec les acteurs du territoire, d’autre part, pour accélérer la transition agroécologique grâce à des solutions spécifiques**.

L’après-midi du séminaire était consacrée à la visite d’une forêt, animée par un expert forestier, Thomas Modori, Phyllae Conseil, représentant de Prosylva en Nouvelle aquitaine. Spécialisé dans la SMCC, sylviculture mélangée à couvert continu, il apporta des exemples de gestion forestière différenciée pour améliorer la captation carbone des sols et la résistance à la sécheresse et à des températures élevées.

* Le living lab ou « laboratoires vivants » est une démarche d’innovation participative impliquant toutes les parties prenantes concernées. 
Il est porté par la Fondation Bordeaux Université.
** Comme par exemple : développer les îlots de fraîcheur, réduire les intrants, augmenter le stockage du carbone dans les sols.